MUSIQUE :
Giacomo Puccini
MISE EN SCÈNE :
Robert Wilson, Nicola Panzer
DIRECTION MUSICALE :
Marco Armiliato
DISTRIBUTION:
Turandot : Iréne Theorin
Altoum : Carlo Bosi
Timur : Mika Kares
Calaf : Brian Jagde
Liù : Ermonela Jaho
Ping : Florent Mbia
Pang : Maciej Kwaśnikowski
Pong : Nicholas Jones
Un mandarino : Guilhem Worms
Il Principe di Persia : Fernando Velasquez
Due ancelle : Pranvera Lehnert, Isabelle Wnorowska-Pluchart
SYNOPSIS :
À Pékin, une princesse renommée pour sa beauté soumet ses prétendants à trois énigmes. Le prince qui saura les résoudre obtiendra sa main et le trône. Hélas ! Jusqu’à présent, tous ont échoué et ont subi la sentence implacable : la mort. Le jeune Calaf réussira-t-il ? Inspiré par une fable de Carlo Gozzi puisant lui-même à plusieurs sources dont les Mille et une nuits, l’ultime opéra de Puccini renoue avec une atmosphère orientale, déjà présente dans Madama Butterfly. Mais en 1924, année où le compositeur meurt en laissant sa partition inachevée, son écriture a gagné en modernité, sans rien perdre de son invention mélodique, comme en témoigne le célèbre air Nessun dorma. Les références à l’Asie ne pouvaient que séduire Robert Wilson dont l’esthétique emprunte au théâtre nô. Sa mise en scène épurée, traversée de touches de commedia dell’arte, offre des images saisissantes et hypnotiques.